En lecture numérique libre sur Atramenta.net (page Aline Tosca)
Résumé
Dans la bonne ville d’Arles, en Provence, deux grandes familles qui ont tout, amour, gloire et beauté, se détestent.
La Camargue sauvage et parfois hostile abrite les nuits les plus dépravées, organisées par la jeune et délurée Carmen Emerson, dont le frère, Tobias, est l’homme le plus beau et le plus raffiné qui existe. Un métis aux yeux verts dont Christian Grey lui-même devrait craindre la concurrence. La nuit, tout se joue et se déjoue au cœur des catacombes. Chez les Saint-Amour, les domestiques mènent la danse et animent le ranch familial. Ce qui oppose les deux clans est un mystère. Plaisirs charnels, événements, situations rocambolesques, rebondissements à gogo sont les clés de ce roman qui emprunte ses références au soap opéra et aux séries télévisées. Oui, c’est presque Dallas, le stupre et la débauche en prime. Bienvenue au ranch des amours.
Quelques avis :
Chez Clarissa Rivière : « Une histoire qui m’a bien réchauffée en ces froides journées de décembre. J’ai bien envie de prendre mon billet de train pour visiter Arles… »
Chez Julie Derussy : « C’est drôle, truculent, rabelaisien. Ça sent le sel et le foutre… »
Chez Manuel Ruiz : « Aline Tosca ne fait pas de l’érotisme pour midinettes. Sous sa plume acérée, les « cul » et les « pute » claquent comme les coups de cravache dans les écuries… »
L’avis de rubythuesday (Amazon) :
« Les Saint-Amour et les Emerson mènent le Grand Batre, comme on dit en Camargue. Ils se détestent également. Aussi quand Rose, l’écrivain de la famille, doit écrire un livre sur Tobias Emerson le Christian Grey du coin, sa sœur, Aurore, la « sage » de cette famille d’hedonistes qui n’aime rien tant que le sexe, la nourriture et les chevaux, décide, avec l’aide de sa fidèle complice, l’intendante du domaine de la protéger et de protéger la famille…
Une saga familiale érotique et passionnante, servie par une plume puissante et évocatrice. La Camargue, belle et violente est bien la, l’ironie et le détachement aussi. Une belle découverte »